L’être humain, dans la pensée systémique, construit son identité à partir des relations. Ce sont les relations nourricières, au sens propre et au sens figuré, qui lui donnent sa densité, qui créent la « matière vivante ». Cette matière fait référence au corps dans sa fonction de vecteur de la relation à l’autre.
Lorsque la dimension relationnelle et affective est bien présente, alors l’individu fait l’expérience subjective d’une vie à la fois enracinée et capable également de se déployer. Il peut incarner les valeurs qu’il reçoit en héritage et qui lui donnent le sentiment de participer à un monde porteur de sens. Il peut mûrir des projets et même se laisser à l’occasion traverser par des images, des pensées, ou même quelques fantaisies, sans autre but parfois que de cultiver un désir d’ouverture. Le vide est dit alors fécondant. Il s’inscrit clairement comme le catalyseur capable d’oeuvrer au développement de l’individu.
Ce vide lui permet de circuler dans l’existence avec un sentiment de sécurité suffisant, de développer des modes de résolution variés et de réaliser, en sa qualité d’être foncièrement relationnel, des attachements et des détachements avec une certaine fluidité. Il arrive que le vide initial perde de sa mobilité et tende à se figer.
En ce qui concerne les addictions, cela se produit lorsque de manière contextuelle, l’attention tout entière d’un individu est dirigée de façon répétitive vers un objet de consommation (substance et/ou comportement) qui produit en retour des effets psychoactifs. Ces effets constituent une réponse adéquate dans le contexte en question, et semblent bien servir, qui plus est, les intentions de la personne à un certain moment de sa vie.
Sans paraphraser le processus addictif détaillé dans un précédent article (Hors-Série n° 13 : « Soigner les addictions », p. 100), nous avons déjà mentionné à quel point cette première étape qui possède une valeur adaptative certaine cède la place par la suite à des altérations diverses touchant à l’intégrité du corps et aux modes de relations jusqu’à compromettre, dans les cas les plus sérieux, la perception du sens même de l’existence.
En effet, chez l’individu, lorsqu’il ne traverse plus les fondements de la relation humaine, exerce un fort pouvoir dissolvant. La capacité d’être en lien est entamée ce qui rejaillit tôt ou tard, de façon négative, sur le sentiment d’appartenance à une communauté. Le vide devient donc un espace, contaminé par un sentiment d’exclusion croissant, susceptible de donner lieu à une persévération de la symptomatologie, autrement dit à l’intensification des conduites de consommation. Il n’en faut pas davantage pour illustrer la circularité du processus addictif.
Pas d’autres alternatives, en effet, pour notre patient que de revenir sur ses pas inlassablement, que de répéter encore et encore le même schéma qui fait évoquer la chronicité. C’est ainsi que des réflexes archaïques en rapport avec le fait d’incorporer, du moins dans les conduites addictives avec substances, viennent saturer le corps, jusqu’à l’immobiliser et de préférence très vite pour le réduire à une simple mécanique sans projet, un être désincarné en dehors de toute temporalité. Plus il s’emploie à combler un vide pressenti à risque déstructurant, plus il en résulte un appauvrissement de tout ce qui le constitue. Le patient est comme pris dans un vertige, poursuivi par une quête de plaisir sans foi ni loi, condamné à une errance où remplir devient un rempart face à la crainte de l’effondrement, de la démission de son système tout entier.
Les choix existentiels, les projets de vie deviennent hasardeux au profit parfois d’investissements volatiles et/ou en pointillés. Cette perspective d’un « vide figé » entre en contradiction avec la possibilité pour un individu d’exploiter son potentiel créatif, de libérer ses ressources et de créer du lien. La conduite addictive induit les effets dissociatifs escomptés pour assurer la survie du système. Ces effets contribuent à atténuer voire à annuler les répercussions du vide qui pourraient menacer l’intégrité de la personne, la faire basculer à tout moment dans le néant, du moins en est-elle persuadée. Les intentions des patients, tout à fait louables au demeurant, sont comme dématérialisées « au contact du vide », elles perdent aussitôt de leur chair. Dans le même temps, la recherche d’effets liée à la conduite addictive devient impérieuse pour sauvegarder l’intégrité et préserver une forme d’homéostasie... On sait que de telles solutions échouent à terme puisque l’équilibre recherché est sévèrement mis à mal en raison des conséquences délétères liées à la répétition et à l’amplification de la conduite.
La symptomatologie se rigidifie bel et bien. L’accompagnement du thérapeute, ce passeur, qui entre dans le tunnel aux côtés du patient et garde au fond de lui-même la foi dans une issue possible, sans pour autant désirer à la place de l’intéressé, est déterminant. Ne nous méprenons pas... car de l’autre côté de ce tunnel, c’est peut-être un chantier en ruine qui attend le patient ou d’autres perspectives plus ou moins réjouissantes. Je me remémore ce patient qui plusieurs mois après la période de cure prétendait que ce qu’il appelait « la lucidité retrouvée » était un cadeau parfois lourd à assumer. C’est le vide « existentiel », ce monde parfois pillé, déserté, lorsque l’addiction s’est largement déployée, et dans lequel il y a tant à construire ou à reconstruire quand on y remet les pieds, peut-être trop. Accepter quelques pertes ici ou là deviendra une nécessité pour trouver l’apaisement. Réparer quand c’est possible de multiples façons, pourquoi pas, et à chaque occasion qui se présente : innover, réinventer…
A noter que le vide chez l’être humain est bien souvent de l’ordre de l’insaisissable, c’est de l’infra langagier. Les mots sont quelquefois réduits à leur plus simple expression. Un homme consommateur d’héroïne se mit un jour, tandis que je le questionnais de façon hypnotique au sujet de l’issue attendue de notre entrevue, à regarder droit devant lui où se trouvait un mur blanc. Son regard était figé. Il s’exprima lentement pour dire qu’il voyait… un mur blanc... quelques instants plus tard il ajouta qu’il voyait des aspérités sur le mur. Et très progressivement, les aspérités sont devenues curieusement des montagnes qui lui rappelaient son pays natal, et entre ces montagnes une route sinueuse était en train de se dessiner. Je lui ai proposé de suivre cette route si le coeur lui en disait, tandis que nous observions, ici ou là, les proches qui s’apprêtaient à le rejoindre en lien avec son expérience. Il a cessé, un temps seulement, de reproduire les mêmes schémas. Pendant plusieurs semaines, il a déclaré non seulement ne plus avoir con - sommé, avoir entrepris de renouer des liens avec les siens, et également tenté de recouvrer une activité professionnelle. La partie s’est avérée trop difficile à jouer mais la foi dans une alternative à ses conduites addictives a été majorée, ce qui constitue une première étape.
Parce que la communication hypnotique, qui se tisse entre le thérapeute et le patient, contribue à restaurer un sentiment de sécurité et un désir de renouer du lien affectif et social chez ce dernier, le monde vide paraît étrangement un peu plus habité. Les travaux de construction commencent et se poursuivent à un rythme qui diffère bien sûr pour chaque individu. De simple spectateur de ce monde en mutation, notre patient en devient l’ouvrier, bientôt le maître d’oeuvre. Le thérapeute au fur et à mesure se fait un peu plus discret, rappelant qu’il est présent le temps nécessaire, pour confirmer que le lien est bien vivant. Le moment venu, il s’éclipsera pour de bon sur la pointe des pieds. Les symptômes se dissolvent progressivement, parfois plus rapidement, comme absorbés par l’énergie vitale issue de la relation thérapeutique et des ponts en construction dans la sphère affective et émotionnelle de l’individu.
Le patient peut se (re)mettre en mouvement et investir son environnement, tandis que ses perceptions désormais plus riches et diverses entreprennent de s’ancrer dans le corps, aidées des interventions stratégiques et bienveillantes du thérapeute. Les métaphores d’activation, si je puis les dénommer ainsi, pour favoriser ce passage d’un vide stérile et morbide à un vide fertile sont d’une grande utilité en hypnose. Elles consistent à s’appuyer sur autant d’exemples que nécessaire pour suggérer qu’un processus apparemment bloqué et/ou quelquefois invisible peut sortir de sa dormance, tisser du lien et essaimer la vie…..
Lorsque la dimension relationnelle et affective est bien présente, alors l’individu fait l’expérience subjective d’une vie à la fois enracinée et capable également de se déployer. Il peut incarner les valeurs qu’il reçoit en héritage et qui lui donnent le sentiment de participer à un monde porteur de sens. Il peut mûrir des projets et même se laisser à l’occasion traverser par des images, des pensées, ou même quelques fantaisies, sans autre but parfois que de cultiver un désir d’ouverture. Le vide est dit alors fécondant. Il s’inscrit clairement comme le catalyseur capable d’oeuvrer au développement de l’individu.
Ce vide lui permet de circuler dans l’existence avec un sentiment de sécurité suffisant, de développer des modes de résolution variés et de réaliser, en sa qualité d’être foncièrement relationnel, des attachements et des détachements avec une certaine fluidité. Il arrive que le vide initial perde de sa mobilité et tende à se figer.
En ce qui concerne les addictions, cela se produit lorsque de manière contextuelle, l’attention tout entière d’un individu est dirigée de façon répétitive vers un objet de consommation (substance et/ou comportement) qui produit en retour des effets psychoactifs. Ces effets constituent une réponse adéquate dans le contexte en question, et semblent bien servir, qui plus est, les intentions de la personne à un certain moment de sa vie.
Sans paraphraser le processus addictif détaillé dans un précédent article (Hors-Série n° 13 : « Soigner les addictions », p. 100), nous avons déjà mentionné à quel point cette première étape qui possède une valeur adaptative certaine cède la place par la suite à des altérations diverses touchant à l’intégrité du corps et aux modes de relations jusqu’à compromettre, dans les cas les plus sérieux, la perception du sens même de l’existence.
En effet, chez l’individu, lorsqu’il ne traverse plus les fondements de la relation humaine, exerce un fort pouvoir dissolvant. La capacité d’être en lien est entamée ce qui rejaillit tôt ou tard, de façon négative, sur le sentiment d’appartenance à une communauté. Le vide devient donc un espace, contaminé par un sentiment d’exclusion croissant, susceptible de donner lieu à une persévération de la symptomatologie, autrement dit à l’intensification des conduites de consommation. Il n’en faut pas davantage pour illustrer la circularité du processus addictif.
Pas d’autres alternatives, en effet, pour notre patient que de revenir sur ses pas inlassablement, que de répéter encore et encore le même schéma qui fait évoquer la chronicité. C’est ainsi que des réflexes archaïques en rapport avec le fait d’incorporer, du moins dans les conduites addictives avec substances, viennent saturer le corps, jusqu’à l’immobiliser et de préférence très vite pour le réduire à une simple mécanique sans projet, un être désincarné en dehors de toute temporalité. Plus il s’emploie à combler un vide pressenti à risque déstructurant, plus il en résulte un appauvrissement de tout ce qui le constitue. Le patient est comme pris dans un vertige, poursuivi par une quête de plaisir sans foi ni loi, condamné à une errance où remplir devient un rempart face à la crainte de l’effondrement, de la démission de son système tout entier.
Les choix existentiels, les projets de vie deviennent hasardeux au profit parfois d’investissements volatiles et/ou en pointillés. Cette perspective d’un « vide figé » entre en contradiction avec la possibilité pour un individu d’exploiter son potentiel créatif, de libérer ses ressources et de créer du lien. La conduite addictive induit les effets dissociatifs escomptés pour assurer la survie du système. Ces effets contribuent à atténuer voire à annuler les répercussions du vide qui pourraient menacer l’intégrité de la personne, la faire basculer à tout moment dans le néant, du moins en est-elle persuadée. Les intentions des patients, tout à fait louables au demeurant, sont comme dématérialisées « au contact du vide », elles perdent aussitôt de leur chair. Dans le même temps, la recherche d’effets liée à la conduite addictive devient impérieuse pour sauvegarder l’intégrité et préserver une forme d’homéostasie... On sait que de telles solutions échouent à terme puisque l’équilibre recherché est sévèrement mis à mal en raison des conséquences délétères liées à la répétition et à l’amplification de la conduite.
La symptomatologie se rigidifie bel et bien. L’accompagnement du thérapeute, ce passeur, qui entre dans le tunnel aux côtés du patient et garde au fond de lui-même la foi dans une issue possible, sans pour autant désirer à la place de l’intéressé, est déterminant. Ne nous méprenons pas... car de l’autre côté de ce tunnel, c’est peut-être un chantier en ruine qui attend le patient ou d’autres perspectives plus ou moins réjouissantes. Je me remémore ce patient qui plusieurs mois après la période de cure prétendait que ce qu’il appelait « la lucidité retrouvée » était un cadeau parfois lourd à assumer. C’est le vide « existentiel », ce monde parfois pillé, déserté, lorsque l’addiction s’est largement déployée, et dans lequel il y a tant à construire ou à reconstruire quand on y remet les pieds, peut-être trop. Accepter quelques pertes ici ou là deviendra une nécessité pour trouver l’apaisement. Réparer quand c’est possible de multiples façons, pourquoi pas, et à chaque occasion qui se présente : innover, réinventer…
A noter que le vide chez l’être humain est bien souvent de l’ordre de l’insaisissable, c’est de l’infra langagier. Les mots sont quelquefois réduits à leur plus simple expression. Un homme consommateur d’héroïne se mit un jour, tandis que je le questionnais de façon hypnotique au sujet de l’issue attendue de notre entrevue, à regarder droit devant lui où se trouvait un mur blanc. Son regard était figé. Il s’exprima lentement pour dire qu’il voyait… un mur blanc... quelques instants plus tard il ajouta qu’il voyait des aspérités sur le mur. Et très progressivement, les aspérités sont devenues curieusement des montagnes qui lui rappelaient son pays natal, et entre ces montagnes une route sinueuse était en train de se dessiner. Je lui ai proposé de suivre cette route si le coeur lui en disait, tandis que nous observions, ici ou là, les proches qui s’apprêtaient à le rejoindre en lien avec son expérience. Il a cessé, un temps seulement, de reproduire les mêmes schémas. Pendant plusieurs semaines, il a déclaré non seulement ne plus avoir con - sommé, avoir entrepris de renouer des liens avec les siens, et également tenté de recouvrer une activité professionnelle. La partie s’est avérée trop difficile à jouer mais la foi dans une alternative à ses conduites addictives a été majorée, ce qui constitue une première étape.
Parce que la communication hypnotique, qui se tisse entre le thérapeute et le patient, contribue à restaurer un sentiment de sécurité et un désir de renouer du lien affectif et social chez ce dernier, le monde vide paraît étrangement un peu plus habité. Les travaux de construction commencent et se poursuivent à un rythme qui diffère bien sûr pour chaque individu. De simple spectateur de ce monde en mutation, notre patient en devient l’ouvrier, bientôt le maître d’oeuvre. Le thérapeute au fur et à mesure se fait un peu plus discret, rappelant qu’il est présent le temps nécessaire, pour confirmer que le lien est bien vivant. Le moment venu, il s’éclipsera pour de bon sur la pointe des pieds. Les symptômes se dissolvent progressivement, parfois plus rapidement, comme absorbés par l’énergie vitale issue de la relation thérapeutique et des ponts en construction dans la sphère affective et émotionnelle de l’individu.
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Revue Hypnose & Thérapies brèves n°57 version Papier
Achat du numéro 57 de la revue Hypnose & Thérapies Brèves en version papier
Prix TTC, frais de livraison compris pour la France métropolitaine.
Les frais de port seront ajustés automatiquement au cours de la commande pour tout achat hors France métropolitaine.
Lorsque la Version papier de ce numéro sera épuisée, la version PDF sera fournie à la place
N°57 Mai/Juin/Juillet 2020
- ÉDITORIAL : « Trouver une certaine sacralité de l’autre, humain et non-humain. » Aurélien Barrau. S. COHEN
- LA « BROSSOSPHÈRE ». G. BROSSEAU et A. FORTIN
- THÉRAPIES BRÈVES. W. MARTINEAU
- QI GONG ET HYPNOSE M. SÉJOURNÉ
- MÉDITATION ET HYPNOSE O. DE PALÉZIEUX
ESPACE : DOULEUR DOUCEUR
- Éditorial. H. BENSOUSSAN
- Adolescent mutique. S. COPEAU
- La lévitation en douleur chronique. A. BOUZINAC
DOSSIER : SE SENTIR VIDE
- Éditorial. D. VERGRIETE
- Vide, phobie et transe ordinaire J. BETBÈZE
- Creuser le vide S. LE PELLETIER-BEAUFOND
- Les vides. D. MEGGLÉ
- Vide et addictions. D. VERGRIETE
- QUI PROQUO, MALENTENDU ET. . .« Tout a une fin ! » S. COLOMBO, MUHUC
- Couvade en pays Dendi. C. LELOUTRE-GUIBERT
- Les Grands Entretiens: Elvira Lang. G. FITOUSSI
Livres en Bouche: H. BENSOUSSAN, C. GUILLOUX, L. BILLY, S. COHEN
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Masterclass exceptionnelle en Hypnose, EMDR - IMO sur les Addictions de Pascal VESPROUMIS à Paris
Le CHTIP Collège Hypnose Thérapies Intégratives Paris en association avec l'Institut In-Dolore et Hypnotim de Laurence ADJADJ, ont le plaisir de recevoir Pascal VESPROUMIS pour une Masterclass de 2 jours à Paris les 22 et 23 Janvier 2024, sur Hypnose, EMDR - IMO, Tabac et autres Addictions: Pourquoi, comment et avec qui ?
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